Extraits de la lecture musicale Les lumières d’Oujda – Traversé(e)s à l’Institut du Monde Arabe

À l’institut du Monde Arabe en compagnie belle, de Senny Camara au chant et à la Kora magique, et de Calvin Yug à la guitare, dans le cadre des « Nuits de la poésie », organisées par l’IMA en partenariat avec la Maison de la poésie de Paris et le festival « Paris en toutes lettres » .
 
Enjoy !!!
 
C’est vraiment arrivé…
 
One Love !!!

Enregistrement à l’Institut du Monde Arabe

On est là… 🙂
 
En concert volant ou presque 🙂, à l’institut du Monde Arabe, en belle compagnie de
Senny Camara (chant et Kora magique) et de Calvin Yug (chant, guitare, percus et machines du futur).
Bonheur d’avoir été invité à offrir mon livre en live, dans le cadre de la programmation exceptionnelle de « La Nuit de la Poésie » à l’IMA, organisée en partenariat avec la Maison de la Poésie et le festival « Paris en toutes lettres. »
Notre traversée enregistrée hier soir, adaptation pour la scène de mon roman nouveau « Les lumières d’Oujda » (éditions Calmann-Lévy), sera diffusée le 12 décembre 2020.
Merci à la direction et aux équipes techniques de ce lieu magnifique, pour l’accueil chaleureux et le partage. Des poèmes et du feu.
Pour toutes les infos :
https://www.imarabe.org/…/les-nuits-de-la-poesie-couvre…
 
Et aujourd’hui, à 18h, je serai l’invité « Passager du Livre », de L’Estive, et vous pouvez si vous le souhaitez, assister à la rencontre ici :
https://www.lestive.com/live/
 
One Love !!!
 
 


 
#rentréelittéraire2020
#beauvoyageàoujda
#TourDeFrancePoétique
#Traversées
#écrirejustejusteécrire
#OnTheMoonForLove

Hommage à Frantz Fanon à l’IMA

A l’Institut du Monde Arabe
On parle de la pensée révolutionnaire de Frantz Fanon,
Devant une salle comble…
J’interviens dans 1h, sur le thème « Fanon, poésie, littérature et engagement »…
Merci à Mireille Fanon Mendès France pour son invitation et au frère Gaël Faye qui aurait du être là, assis avec nous, à la table des échanges.

One love!!!

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Pour voir (ou surtout écouter) mon intervention

Hommage à Frantz Fanon à L’Institut du Monde Arabe le 9 décembre

Frantz-FannonJ’ai l’immense honneur d’être invité à l’hommage qui sera rendu à Frantz Fannon à l’IMA le 9 décembre et d’y intervenir à 14h15.

Institut du Monde d’Arabe
Salle du Haut Conseil
1, rue des Fossés Saint-Bernard,
75005 Paris
Tél. : 01 40 51 38 38

La Fondation Frantz Fanon, au regard de son engagement solidaire aux causes fanoniennes de notre temps et pour apporter son éclairage sur les enjeux des politiques d’oppression ou de domination auxquelles sont confrontés les peuples du monde entier, a décidé d’organiser annuellement, à partir du 9 décembre 2015, les « Rencontres de la Fondation Frantz Fanon », dont l’objectif sera d’évaluer le rôle possible de la pensée en action de Frantz Fanon à l’épreuve du temps.
Ces rencontres se dérouleront sur une ou une demi-journée. Elles seront introduites par une conférence inaugurale qui orientera l’ensemble de la rencontre. Il sera demandé à chaque intervenant de présenter sa démarche à partir du thème proposé à la réflexion. Celui de la première session sera « L’émancipation contre la guerre des civilisations ».

Les rencontres seront filmées et retransmises sur le site de la Fondation.
Des traductions seront organisées sur la base du volontariat.

L’œuvre de Fanon a d’abord été associée à la guerre d’Algérie et c’est comme compagnon de route du FLN plutôt que comme Martiniquais que Fanon a été perçu en métropole dans les années suivant immédiatement sa mort en 1961. C’est seulement dans un second temps, et par le détour de la réception anglo-saxonne, que son travail de mise au jour de l’expérience d’aliénation des Noirs, qui nourrit Peau Noire, Masques Blancs, a été lu en France. Ainsi la fin de « l’amnésie » sur l’Algérie, coïncidant avec l’arrivée des cultural studies et des études postcoloniales en France, a-t-elle permis à la réception de « troisième génération » de prendre toute la mesure du double enjeu qui traverse l’analyse du fait et de l’héritage colonial dans l’œuvre fanonienne : l’émancipation des « damnés de la terre » doit conjuguer à la fois décolonisation et désacralisation.