On est là…

En apesanteur, et le discours de Jupiter d’hier ne donne aucunement envie de redescendre.
Merci à Michel Digout pour sa mise en image sublim(e) .. inale, de cet extrait d’un long poème, prémonitoire m’a-t-on dit parfois, composé et publié il y a trois ans ans.
Le texte habillé par la musique du frangin génial Alain Larribet, dit sans dicter, conduite à tenir par tous les temps.
Tenir comme dit le poète, « dragée haute au désespoir ».
Tenir bon, tenir debout, tenir ensemble.
Pour ne pas nous noyer en mots troubles.
Respirer, ne jamais cesser de fixer l’horizon.
Un bouquet de poèmes à la main.
Merci à Nahia Larribet et à Caroline Bentz pour leurs voix liées.
Et merci à vous, qui prendrez le temps, de (re)découvrir ces « Fragments ».
Réapprendre à vivre, c’est bien de cela qu’il s’agit.
Définitivement.
One Love !!!
#Fragments